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Photo du rédacteurOlivier Robert

La petite revue de presse chablaisienne et subjective de "Villars-Vacances" du 4.02 au 11.02.23

Dernière mise à jour : 20 févr. 2023

> 11.02.2023, Le Nouvelliste. A Monthey et St-Maurice, des couples princiers régneront sur le carnaval. Les autorités qui régneront sur les carnavals de Monthey et St-Maurice sont connues. Des deux côtés, des couples princiers ont été nommés: les Vernaz à Monthey, et les Derivaz à St-Maurice.

C’est une grande première à Monthey: pour la 150e édition du carnaval, qui se déroulera du 16 au 21 février, ce n’est pas un prince ou une princesse, mais un couple princier qui régnera sur la manifestation. Nathalie et Philippe Vernaz, ou «Nat 1ère et Pipo 1er», ont été présentés lors de la traditionnelle conférence de presse organisée ce samedi à Monthey. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...

> 10.02.2023, 24 heures. Canons à neige vandalisés«Ceux qui ont fait ça méconnaissent la montagne». Le directeur de Magic Pass et ancien patron de Télé-Villars-Gryon, Pierre Besson, défend les stations qui ont déjà entamé leur transition.

Le milieu des stations et des remontées mécaniques est resté discret, malgré la série de sabotages qui a touché les canons à neige de plusieurs exploitations romandes – et françaises – durant les Fêtes et en janvier. Jusqu’à présent. Visage du ski, Pierre Besson, directeur de Magic Pass et longtemps directeur de Villars-Gryon SA, réagit au témoignage de l’activiste publié jeudi par «24 heures». Un combat qui, selon lui, se trompe de cible.

Votre réaction, en découvrant que des canons à neige avaient été sabotés? Celui de tout ancien directeur de station, je pense, des mots de Cambronne et d’oiseaux. Maintenant ça va mieux, on a plus de recul (sourire).

Et en découvrant les motivations des activistes? Là, je me dis que ce sont des gens un peu déboussolés, qui visent la politique et l’économie en général, mais qui, surtout, méconnaissent aussi bien le cycle de la montagne que les réalités des stations. C’est compliqué. C’est bien plus difficile que de sectionner des câbles. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...

> 11.02.2023, Le Nouvelliste. Massongex: Raymonde Schoch revient au Conseil communal. Raymonde Schoch remplace Morgane Dénervaud au sein de l’exécutif communal de Massongex. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...

> 11.02.2023, Le Nouvelliste. Une entreprise de Monthey co-invente la première centrale énergétique mobile. Une centrale solaire mobile a vu le jour à Monthey. Elle permettrait de produire et de stocker de l’énergie, même dans les zones les plus isolées. Cinq festivals sont déjà intéressés.

Il se nomme Solar Power Container, mais on retiendra surtout ses initiales: SPC. Cette centrale énergétique solaire, mesurant 3 mètres de long pour moins de 2 tonnes, est la première du genre en Suisse. Etudié et conçu par les entreprises Bühler Electricité à Monthey et Blank Metallbau à Berne, le module contient toutes les installations techniques et photovoltaïques pour produire de l’énergie renouvelable à tout moment. «Il possède une puissance de 15 kW et est alimenté par 20 mètres carrés de panneaux solaires», explique Andreas Schoeni, directeur de Bühler Electricité. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...

> 10.02.2023, Radio Chablais. St-Maurice: "Le speed recruting est une motivation supplémentaire pour les jeunes en quête d’apprentissage".

Quinze minutes pour convaincre un potentiel futur employeur. 85 élèves du CO et de l'EPP de Saint-Maurice ont participé ce vendredi à une journée speed recruting.

Faciliter la rencontre entre entreprises et jeunes en recherche d’apprentissage. C’était l’objectif de la journée de speed recruting organisée ce vendredi au cycle d’orientation (CO) de la Tuilerie à Saint-Maurice. Ce concept, déjà testé à Aigle et Martigny, permet aux élèves de 3e année du CO et de l’école préprofessionnelle (EPP) de rencontrer de potentiels futurs employeurs dans des entretiens d’un quart d’heure. Les jeunes choisissent parmi la trentaine d’entreprises présentes et passent en moyenne entre deux et trois entretiens durant la journée. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...


> Article de la semaine, Riviera-Chablais. Ski avec vue sur le Léman. Les stations où glisser tout en admirant notre beau lac sont rares et restent mal connues. Tour d’horizon de ces spots, skis aux pieds, et zoom sur notre préféré: les Rochers-de-Naye. Les stations où glisser tout en admirant notre beau lac sont rares et restent mal connues. Tour d’horizon de ces spots, skis aux pieds, et zoom sur notre préféré: les Rochers-de-Naye. La mythique «piste du diable» est paradisiaque ou belle à se damner selon les points de vue. Ici, aux Rochers-de-Naye, sur les hauts de Montreux/Veytaux, on peut déflorer de la poudreuse 740 m de dénivelé durant. Le tout en admirant des vues plongeantes sur le Léman. C’est unique au monde… ou presque (lire notre encadré) «On se croirait dans un de ces fjords norvégiens lointains qui font rêver tout skieur hors-piste normalement constitué sauf qu’ici on est à 40 min de train de la Gare CFF de Montreux et que l’itinéraire est sécurisé et ne nécessite donc pas de détecteur de victime d’avalanche ni de connaissance particulière relative à la neige», vante Paul Wetzel entre deux virages carvés. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...


> 8.02.2023, RTS. Skier coûte toujours plus cher, mais il existe des solutions pour économiser, Entre l'inflation, l'augmentation du carburant et la hausse du prix des nuitées, aller en station coûte plus cher cette année. Mais comme le démontre la rédaction de basik, il existe des bons plans pour dépenser un peu moins d’argent, et ce tout en skiant de façon plus durable.

D’après un sondage d’Hôtellerie Suisse auprès de ses membres, plus de 80% des établissements ont augmenté d’au moins 5% le prix des chambres cette saison.

De leur côté, les Remontées mécaniques suisses ont, elles aussi, fait grimper le prix des forfaits, mais jamais au-dessus de 5%, assure la faîtière. Dès lors, le prix moyen du forfait journalier pour un adulte en Suisse est désormais de 68 francs, soit 15 francs de plus qu’il y a quinze ans.

Face à cette situation, la rédaction de basik est partie à la recherche de bons plans pour dépenser un peu moins d’argent, mais aussi tenter de skier de façon plus durable. Pour ce faire, elle s’est rendue dans le canton du Valais qui, avec 570 remontées mécaniques, possède la plus grosse infrastructure du pays.

Et contre toute attente, l'équipe est parvenue à ne dépenser en tout que 211 francs pour un week-end en montagne pour un adulte, frais de transports exclus. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...


> 8.02.2023, 24 heures. La montagne continue d’attirer. La demande actuelle est plus forte que l’offre et les biens s’arrachent sitôt mis en vente.

Extraits: ... Dans le Chablais vaudois, Christian Reber, propriétaire de Reber Interlocation et syndic des Diablerets, corrobore leurs propos. «Nous avons enregistré une très forte demande, tant pendant l’année transitoire post-Covid en 2021 que lors de celle qui vient de s’écouler. Les biens s’arrachent dès qu’ils sont mis en vente. Il suffit de quelques visites pour vendre des biens de toutes les tailles et de tous les prix. Y compris des chalets dits d’alpage aux prix plus élevés que d’ordinaire à cause de leur rareté. Tout s’est vendu très rapidement.»...


... Aux Diablerets, Christian Reber remarque que la hausse des taux hypothécaires, qu’il juge raisonnable, n’a pas freiné la demande. Mieux, certains de ses clients affirment que «l’impossibilité ou les difficultés de voyager pendant la pandémie ayant mis à mal leurs plans de vacances, cela les avait motivés à acquérir une résidence à la montagne qui pouvait garantir une destination sûre en cas de nouvelles restrictions.»... La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...

> 6.02.2023, Radio Chablais. Y aura-t-il moins de pop-corn cette année dans le Chablais ? Les agriculteurs qui cultivent du maïs ont la vie dure dans le Chablais. Contraints d’aider à l’éradication d’un insecte ravageur, leur production sera plus compliquée cette année.

Être le royaume du maïs n’est pas à l’avantage du Chablais cette année. Le retour de la chrysomèle dans la région a mis le canton de Vaud en alerte. Cet insecte, dont les larves s’attaquent aux racines de la plante, peut causer de nombreux dégâts. Les autorités ont donc mis en place des mesures de lutte. Les agriculteurs ont ainsi reçu l’interdiction de cultiver cette année leur or jaune sur les parcelles où ils en avaient planté en 2022. Une décision que le cultivateur aiglon Jean-Luc Mayor trouve trop draconienne. La suite de cette information en cliquant sur la photo ci-dessous...

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